On conseil toujours de huiler l'intérieur d'un didge lorsque celui çi n'est pas verni, et ce pour éviter les mouvements du bois et les fissures en limitant les variations d'humidité. Certains vont même jusqu'à dire que l'huile en gonflant le bois referme les microfissures.
Evidemment en lisant ça on se dit que l'huile c'est merveilleux et on en met dans tous les didges non vernis. Mais après quelques expériences malheureuses je commence à me demander si c'est vraiment une bonne idée.
J'ai vu deux de mes sandidges s'ouvrir après huilage, à chaque fois de la même façon : l'huile imbibe les fibres du bois aimées le long du trais de coupe, du coup la colle (araldite pour l'un, polyuréthane pour l'autre) n'adhère plus au bois et paf, la fissure. Sur l'un des deux didges j'ai eu le même problème avec une fissure rebouchée, l'huile a imbibé le bois le long de la fissure et l'araldite s'est décollé. J'ai éliminé la thèse du collage mal fait, puisque l'un des deux didge a vécu deux ans sans souci avant de se rouvrir complètement en deux le lendememain d'un huilage intérieur.
Du coup je me pose la question de la pertinence de l'huilage sur un didge : sur n'importe quel sandidge ça risque de le faire se rouvrir ; idem sur un didge dont on a réparé une fissure. Sur un didge qui n'a pas encore fissuré, on prend également le risque de ne pas pouvoir réparer proprement la fissure puisque les colles utilisées pour réparer n'adhéreront pas sur les fibres gorgées d'huile de la branche.
Voila un peu l'état de ma réflexion, qu'est-ce que vous en pensez, est-ce que vous avez déja connu des cas similaires ?
et si tu veut le garder trad ..........ben c'est le scotch tout autour !!! 
