Allons y alors, en regardant derrière moi.
Du plus ancien au plus récent, l'histoire d'un plongeon de 8 ans dans le son.
- Au commencement était le verbe, euh non, un teck offert par la grand-mère, à ma fille qui avait eu un moniteur de centre aéré qui faisait phantasmer les petites filles en soufflant. Un vrai avec des copeaux à l'intérieur et un lézard peint avec un mélange de hachures et de points. Après l'avoir arrangé, j'ai acheté un euca chez didjshop, facile à jouer tant qu'on ne fait pas de bucheronnage avec deuxième survibration.
- Ensuite le petit mi rose, c'est le second didge que j'ai fabriqué, j'ai eu la chance de trouver sur le bord de la Loire une branche de bois dense avec la bonne forme et d'y appliquer la méthode de Bouddidge; ça reste un de mes meilleurs et celui qui sert pour "faire mes gammes" (merci steph).
- Ensuite deux jumeaux, un prunier et un bois flotté, résultats d'expériences diverses, qui ne servent plus trop maintenant.
- Ensuite un petit méchant, le La en bois flotté, fait pour la muscu, le genre que Djalu dit dangereux pour les poumons, il demande trop de pression pour sonner, j'en ferais plus des comme ça, mais il est bien marrant à jouer (hein rudy

)
- Ensuite la triplette de Maningrida, je les aime vraiment bien ceux là; si bémol, fa et sol; wuyimbarl, yidaki et mago... une vie pour explorer chaque didge. Petite pub, si vous n'avez pas peur qu'ils pètent, pensez à acheter au village.
- Après, le Mirrara, là c'est du sérieux, un maître, et pourtant si docile.... Ré, il supporte tous les styles de jeu. Par contre, il n'a pas aimé l''hémisphère Nord, résultat 30 cm de scotch noir.
Un ami revient du Cap de la Chatte, el Cabo de Gata ... un agave en si 2m10, un nouvel univers de jeu...
Voila, la suite...