
Mais le pauvre bout de bois avait quelques fissures ouvertes et quand il à pris la pluie des morceaux de peintures ont glissé. Outre mon traitement peu complaisant, j'ai décider de m'en servir pour raconter ma propre histoire (je peux pas m'empêcher d'y mettre une touche personnel). Donc je refais toute la finition, bouche les fissures. Et je peindrais des motifs avec de la peinture que tu avais cité dans un article sur les peintures aborigènes. Voilà pas de blame envers l'instrument, sa qualité musicale est conservé et... magnifique. Un petit pincement au coeur pour les motifs que j'avais plaisir à regarder avant la catastrophe. Et puis je ne peu jauger le degré de sacré que revêt un didgeridoo fabriqué pour la vente par un maître aborigène comme Djalu, proche du zéro à mon avis, il s'agit plutôt d'une question d'authenticité, que je ressens dans le jeu peut importe l'aspect (je l'aurais bien gardé intacte tout de même).