Ok, ce morceau je le connaissais déjà : je l'ai vu en live dans une cave et une église (en acoustique comme ici), sur scène (amplifié ça crache), mais ce que j'aime dans cette version c'est son interprétation ainsi que la musicalité qui s'en dégage! La façon dont il revisite lui-même son répertoire quoi

Tout un univers où des néophytes pourraient facilement se laisser entraîner et participer à casser l'image "classique" du didge que l'on colporte souvent!!!
Bon j'arrête les éloges pour Tonton Ondrej et je vous laisse écouter, en espérant que vous apprécierez autant que moi la façon dont il utilise son didge en Madrone résiné à l'intérieur
