Je crois que j'ai trouvé mon festival. Trois jours de pure bonheur. Je n'ai pas eut l'occasion de voir Terre d'harmonie, je ne pourrais donc faire aucune comparaisons, mais une chose est certaine, l'Arbre qui marche a trouvé son équilibre et son publique. Vraiment la sensation d'être dans un petit village où on prend le temps de s'arrêter pour partager avec les autres. Des sourires sur tous les visages et une simplicité naturelle. Des activités bien délimités comme des petits quartiers où on prend le temps de découvrir. Un vrai pôle atelier où chacun pouvait s'initier à divers techniques artisanales, artistiques...
Une orga et des bénévoles au taquet (merci à tous). Très peu de joueurs de didge (étrange) ce qui n'est pas si inintéressant car ça nous a permis à Colas, Coco et moi même de faire découvrir l'instrument sous tous ses aspects à des gens particulièrement curieux d'en savoir plus grace à l'atelier découverte du didgeridoo, un vrai succès.
Un moment inoubliable avec le collage du gros balou, le méga didge des Lutins souffleurs. Merci à vous de m'avoir adopté et d'avoir eut le privilège de partager ce moment délirant, sans parler de coco sur la grande scène qui innogure le gros bébé.
Impossible de raconter ce festival, il faut le vivre. Tellement de moment à part qui montrent qu'il y a de l'espoir chez l'humain.
Encore une fois j'ai oublié d sortir l'appareil photo, mais toutes les images sont bien gravées en moi. J'ai quand même réussi à en prendre quelques unes que je partagerais d'ici peu. En attendant ça vibre encore bien fort et pour un bon moment. Comme dirait Dreadmetis, ça bourdonne encore
