sur la platine, je détrône "Cosmic Fields", des bons, pour placer un bijou dans son écrin, tout debout.
et là, le temps s'égrène, je tripe, je reste scotchée à en perdre haleine, le son à fond, mon corps en émulsion, le plancher en prend pour de bon, puis allongée en apesanteur, je passe les dimensions du bonheur. palettes multicolores inouïes, je traverse les contrées, je suis éblouie, la diversité du paysage sonore me fait voyager dans un magnifique paysage sonore. jeu traditionnel ancestral, jeu cosmique universal, je suis impressionnée, subjuguée, je hulule. touchée au plus profond de mes cellules, je chante "faux", fredonne, crie ma joie, j'en redemande, "une autre, encore une", je suis en émoi. purée quelle épopée, maintenant je suis crevée, heureusement, j'ai dû mettre fin à cette chevauchée fantastique à cause d'un risque de tapage nocturne.







































